Les parieurs sont tous plus ou moins superstitieux ; beaucoup aiment posséder un gobelet à dés personnalisé, par exemple. Cette coupe appartenait à une femme ; étonnamment, aucun mécanisme secret n'y est caché. Le destin décide du sort de la moitié des dés ; le sort de la moitié restante est décidé par l'homme. Et pourtant, jamais elle ne lança les dés en dehors de la table de jeu.