Frustré par son échec, le jeune épéiste comprit que certaines choses ne peuvent être achevées par l'art de l'épée. Alors, plutôt que de croire en l'art, il mit sa foi dans la lame. « Plus grand, c'est toujours mieux ; et une épée ne fait pas de différence. » Dans l'imposante Forêt de pierre de Guyun, il connut sa fin grandiose. Son rêve d'un jour pouvoir voler mourut à ce moment ; mais ni son histoire ni son arme ne disparurent.