Splendeur des Cinq Kasen - Suikou Si loin des frivolités du monde est ma chaumière, pourtant mon nom attire le vacarme. Je m'en suis allé au Tenshukaku, les œuvres des Cinq en ma possession. Quelle surprise, quand sur la route, je découvre qu'une page des poèmes d'Aoi est manquante ! Devant votre fureur, Shogun, j'implore pardon. Je me creuse la tête jusqu'à ce que mes souvenirs reviennent prestement. Semblerait-il qu'hier soir je me sois enivré jusqu'à en perdre la raison. Dans mon sommeil, j'ai fait le rêve d'une ombre me longeant. Qu'est-ce donc, Votre Excellence, sinon l'œuvre d'un larron ? C'est bien sa faute si j'affiche devant vous cet air désolant !